
By Coxeter H.S.M., Greitzer S.L.
Traduction de l’ouvrage publié en langue anglaise sous le titre Geometry Revisited en 1967.
Réimpression par les éditions Jacques Gabay de l’édition publiée par Dunod en 1971.
AVANT-PROPOS (Extrait)
Des enthousiastes sans jugement conduisent l’élève à croire que los angeles géométrie est « hors du courant essentiel des mathématiques » et qu’elle devrait être remplacée par l’analyse ou l. a. théorie des ensembles.
Cette state of affairs inférieure de los angeles géométrie dans les programmes scolaires est peut-être due à ce que les éducateurs connaissent mal l. a. nature de l. a. géométrie et les progrès réalisés au cours du développement de cette dernière. Parmi ces progrès, figurent maints beaux résultats ; par exemple le théorème de Brianchon, le théorème de Feuerbach, le théorème de Petersen-Schoute et le théorème de Morley. Il faut se rappeler, selon l’histoire, qu’Euclide écrivit pour des adultes se préparant à étudier l. a. géométrie. D’autre half, jusqu’au vingtième siècle, l’une des principales raisons justifiant l’enseignement de l. a. géométrie était que los angeles méthode axiomatique de cette dernière constituait, croyait-on, los angeles meilleure creation au raisonnement déductif ; et, naturellement, en vue d’un enseignement efficace, on insistait sur cette méthode. Cependant, quand cela lui convenait, nul géomètre, ancien ou moderne, n’a hésité à utiliser des procédés moins orthodoxes. Si l. a. trigonométrie, los angeles géométrie analytique ou les méthodes vectorielles peuvent l’aider, le géomètre y air of secrecy recours. De plus, il a inventé des ideas modernes, à l. a. fois élégantes et puissantes, qui lui sont propres : l’une d’elles repose sur l’emploi de changes telles que rotations, symétries et homothéties, qui permettent d’abréger los angeles démonstration de certains théorèmes, et, aussi, établissent un lien entre los angeles géométrie, d’une half, los angeles cristallographie et l’art, d’autre half. Le chapitre four est consacré à cet point « dynamique » de los angeles géométrie. Une autre approach « moderne » fait appel à l’inversion qui traite de issues et de cercles en considérant une droite comme un cercle passant par le « point à l’infini ». Le chapitre five en donnera quelques aperçus. Enfin, une troisième procedure est celle de l. a. géométrie projective qui, sans s’attacher aux distances et aux angles, met en lumière l’analyse entre issues et droites (celles-ci étant infiniment étendues et non limitées à de simples segments). Ici, deux issues quelconques sont joints par une droite, et deux droites quelconques se coupent en un point ; de plus, deux droites parallèles sont considérées comme ayant un element commun situé sur « la droite à l’infini ». Dans le chapitre 6, on trouvera quelques symptoms sur ce sujet.
Aujourd’hui encore, los angeles géométrie possède toutes les vertus que les éducateurs lui attribuaient il y a une génération : elle existe toujours dans l. a. nature, et attend qu’on los angeles découvre et qu’on l’apprécie. Pour l’élève, et surtout par ses propriétés projectives, los angeles géométrie ne cesse de constituer une excellente advent à l’axiomatique. Elle possède encore l’attrait esthétique qu’elle a toujours ecu, et los angeles beauté de ses résultats ne s’est pas estompée. En fait, elle est plus utile et même plus nécessaire aux savants et aux mathématiciens qu’elle ne le fut jamais : on le voit en considérant, par exemple, les formes des orbites des satellites artificiels et los angeles géométrie à quatre dimensions dans le continu espace-temps.
Au cours des siècles, l. a. géométrie s’est développée. De nouveaux ideas, de nouvelles méthodes d’action furent forgés : à l’élève, ils apporteront défi et shock. Par les moyens qui nous conviendront le mieux, revenons donc à Euclide ; et, pour nous-mêmes, découvrons quelques-uns des plus récents résultats. Peut-être pourrons-nous, ainsi, retrouver un peu de l’intimidation émerveillée que suscita en nous le prime touch avec los angeles géométrie…
======= desk des matières ======
Chapitre 1 — issues et droites associés à un triangle
1.1. Loi des sinus
1.2. Théorème de Jean de Céva
1.3. issues remarquables
1.4. Cercles inscrits et ex-inscrits
1.5. Théorème de Steiner-Lehmus
1.6. Triangle orthique
1.7. Triangle complémentaire et droite d’Euler
1.8. Cercle des neuf points
1.9. Triangles podaires
Chapitre 2 — Quelques propriétés des cercles
2.1. Puissance d’un element par rapport à un cercle
2.2. awl radical de deux cercles
2.3. Faisceaux de cercles
2.4. Complément sur les hauteurs et l’orthocentre d’un triangle
2.5. Droite de Simson
2.6. Théorème de Ptolémée et sa généralisation
2.7. Complément sur l. a. droite de Simson
2.8. Le papillon
2.9. Théorème de Morley
Chapitre three — issues alignés et droites concourantes
3.1. Quadrangles ; théorème de Varignon
3.2. Quadrangles inscriptibles ; formule de Brahmagupta
3.3. Triangles de Napoléon
3.4. Théorème de Ménélaüs
3.5. Théorème de Pappus
3.6. Triangles homologiques ; théorème de Desargues
3.7. Hexagones
3.8. Théorème de Pascal
3.9. Théorème de Brianchon
Chapitre four — Transformation des figures
4.1. Translation
4.2. Rotation
4.3. Demi-tour
4.4. Symétrie par rapport à un axe
4.5. Problème de Fagnano
4.6. Problème des trois vases
4.7. Homothétie
4.8. Similitude
4.9. changes successives
Chapitre five — creation à l. a. géométrie de l’inversion
5.1. de issues séparés
5.2. Rapport anharmonique
5.3. L’inversion
5.4. Inversion dans le plan
5.5. Cercles orthogonaux
5.6. Théorème de Feuerbach
5.7. Faisceaux de cercles
5.8. Écart inversif
5.9. Fonctions hyperboliques
Chapitre 6 — creation à los angeles géométrie projective
6.1. Réciprocité polaire
6.2. Cercle conjugué à un triangle
6.3. Coniques
6.4. Foyers et directrices
6.5. Le plan projectif
6.6. Coniques à centre
6.7. Projection stéréographique et projection centrale
Conseils et strategies des exercices
Index
Read Online or Download Redécouvrons la géométrie PDF
Similar geometry and topology books
From Geometry to Quantum Mechanics: In Honor of Hideki Omori
This quantity consists of invited expository articles through recognized mathematicians in differential geometry and mathematical physics which have been prepared in social gathering of Hideki Omori's contemporary retirement from Tokyo college of technological know-how and in honor of his basic contributions to those parts.
Designing fair curves and surfaces: shape quality in geometric modeling and computer-aided design
This cutting-edge research of the ideas used for designing curves and surfaces for computer-aided layout purposes makes a speciality of the main that reasonable shapes are continuously freed from unessential good points and are easy in layout. The authors outline equity mathematically, show how newly built curve and floor schemes warrantly equity, and help the person in settling on and removal form aberrations in a floor version with out destroying the primary form features of the version.
Professor Peter Hilton is without doubt one of the most sensible identified mathematicians of his iteration. He has released virtually three hundred books and papers on quite a few facets of topology and algebra. the current quantity is to rejoice the celebration of his 60th birthday. It starts with a bibliography of his paintings, by way of experiences of his contributions to topology and algebra.
Additional resources for Redécouvrons la géométrie
Sample text
3 General Affine Planes and Curves Fig. 2. The affine plane over 27 Z,3 field OC is defined to be a formula of the shape f(x,y) = L aijXiyj i,j where the sum is finite and the coefficients aij lie in oc. An algebraic curve over OC is a non-zero polynomial f(x, y) over OC, up to multiplication by a non-zero scalar. Henceforth, we will abbreviate the term 'algebraic curve' to 'curve'. The degree of a curve is the common degree of its defining polynomials. Curves of degree 1, 2, 3, 4, ... are called lines, conics, cubics, quartics, ....
Equivalently one seeks positive rational solutions x = X /Z, y = Y /Z of the equation x 2 + y2 = 1. In other words, we seek all points (x,y) in the set Q2 = {(x,y) : x,y E Q} with x 2 + y2 = 1. ) This example suggests it might be profitable to proceed by analogy and define a 'curve' in Q2 just as we did in the real case, save that the coefficients aij in the defining polynomial f would be allowed to 22 General Ground Fields be rational numbers. This time we would be replacing the real number field IR by the rational number field Q.
The unconstrained moving plane moves with three dof, represented by one rotational dof, and two translational dof. In principle, the movement will be restricted to one dof when the moving plane is subject to two constraints. One way of constraining the motion is to insist that a given point in the moving plane must lie on a given curve in the fixed plane; or dually, one can insist that a given point in the fixed plane must lie on a given curve in the moving plane. Motions with one dof can be constructed by imposing two such constraints, of the same or different types.